Guillaume &  Mikajoh  | 
      
 
    
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 Après une école d’ingénieur et le doctorat-ès-sciences, il entre en 1962 en tant que chercheur au Centre National de la Recherche Scientifique.  | 
  
Après deux ans passés aux Etats-Unis, 
                          au Baker Laboratory, il fonde un groupe de recherches 
                          où il infléchira ses travaux vers l’étude 
                          des semiconducteurs appliqués à l’énergie 
                          solaire et coordonnera pendant deux ans les travaux 
                          d’un groupe de laboratoires européens pour 
                          la conversion photovoltaïque de l’énergie 
                          solaire. Il travaillera ensuite à Nantes où 
                          il poursuivra des recherches sur les polymères 
                          conducteurs. 
                          Ces travaux ont donné naissance à plusieurs 
                          thèses de doctorat et à un grand nombre 
                          de publications, en anglais surtout, dans des revues 
                          spécialisées à comité de 
                          lecture comme Physical Review, Journal of Chemical 
                          Physics, Philosophical Magazine.
      À partir de la fin 1997, Jacques Bullot qui, 
                          de tout temps s’est intéressé à 
                          la littérature policière et plus particulièrement 
                          au roman noir entame l’écriture de son 
                          premier roman. Celui-ci est publié en 2001 aux éditions Noir Délire sous le 
                          titre La gueule de l’emploi. Suivent 
                          la publication d’un recueil de nouvelles, La 
                          Couleur du temps et, en 2002, du roman Les 
                          Liquidateurs, toujours chez Noir Délire. 
                        Le quatrième roman : Du nitrate dans le cassoulet sort aux éditions E-Dite en 2005.
                        Le gène du perce-neige est publié en 2007 par Edition du 
                            Bout de la Rue. L'ouvrage est sélectionné pour le prix Intramuros 2008 au Festival de Cognac (6 retenus sur 200). Il publie en 2008 Amour, Raspail, Vavin... décrivant les dessous du métro parisien. Il sort son dernier polar en 2012, Le souffle glacé du Djurdjura où il parle, au travers de son expérience personnelle, des conditions de vie des jeunes du contigent en Algérie au cours de la période 1959-1961. 
                          Pour l’auteur, le roman noir n’est pas un 
                          roman policier mais au contraire, comme le proclamait 
                          Jean-Patrick Manchette : un roman d’intervention 
                            sociale très violent. Jean Pons l’a 
                          caractérisé ainsi : L’intrigue 
                            n’est que le squelette du roman noir, sa chair 
                            est l’histoire sociale.
                            Dans cette optique les romans et nouvelles de Jacques 
                          Bullot abordent des thèmes comme : la spoliation 
                          des biens juifs pendant la guerre, le sort des liquidateurs 
                          qui ont déblayé les déchets radioactifs 
                          après l’explosion de Tchernobyl ou encore 
                          les négligences industrielles qui ont engendré 
                          l’explosion du site d’AZF à Toulouse 
                          en 2001.
                          Parallèlement plusieurs nouvelles sont publiées 
                          dans des recueils collectifs (Polar, cinéma et 
                          star, Ed. Le Marque-Page, 2002 ; La France d’après, 
                          Ed. Privé, 2007 ; Polar & CO, Douzième, 
                          Le Salon, Cognac, 2007), des revues (Coup de Plume en 
                          2000, 813 en 2002) ou des journaux (La Page du 14ème 
                          en 2003). Et enfin, il a participé à la collection DETECTIVARIUM avec deux polars pour ados, L'énigme des gouttes de pluie et dernièrement Le secret de la roue bras de fer. 
                          Tout au long de ces années, son engagement politique 
                          au sein d’associations est une donnée essentielle. 
                          Ainsi ces dix dernières années Jacques 
                          Bullot a collaboré à La Page, 
                          journal de quartier rayonnant sur le 14e arrondissement 
                          de Paris. Tiré à 2000 exemplaires, quatre 
                          fois par an, ce titre qui aborde des thèmes politiques 
                          et culturels, lutte contre la spéculation immobilière 
                          et la destruction du tissu social et se veut effronté 
                        et impertinent.
  
  Pour plus d’informations, on peut consulter le site de l'auteur.